Dreamers, teaser géant, cut-up psychédélique,

 rassemble une somme d’influences dans un format splitscreen à deux écrans, souvenir exalté de la forme ancienne du cinémascope. Cumul de séquences hybrides, matières digitales, sons, “found footages“ et textes, se mêlent dans un récit polyphonique. L’écriture automatique s’impose comme
rituel magique et trace le parcours d’un voyage mental. Hommage à la Beat Generation, il s’inscrit dans une poétique du déplacement et de l’errance, si chère à Pasolini, “pas un documentaire, pas un film…“.

 

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Dancing Tribe

Dreamers Projection en continu Friche Belle de Mai au Petit Plateau / Présentation de l’édition au Frac Paca – 25 26 27 28 Août

A l’occasion de la Rentrée de l’art Contemporain et de la Foire Artorama, Véronique Rizzo présente, Dreamers events 25/26/27/28 August 2016. Dreamers, c’est un film, une bande son, un livre d’artiste, une série de multiples. Le projet s’articule comme une oeuvre d’art totale qui se développe ad infinitum… /

Dreamers is a movie, a soundtrack, a book, a series of editions. The project is structured as a total work of art that grows ad infinitum …
Un film en projection continue / A continuous film projection
Un livre d’artiste / An artist’s book
Une série d’éditions dont une sérigraphie réalisée avec le Dernier Cri / A

series of editions including a silkscreen realised by Dernier Cri.

Dreamers, teaser géant, cut-up psychédélique, rassemble une somme d’influences. Matières, sons, images et textes se mêlent dans un récit polyphonique. L’écriture automatique s’impose comme rituel magique, traçant le parcours d’un voyage mental. Hommage à la beat Generation, il s’inscrit dans une poétique du déplacement et de l’errance, si chère à
Pasolini, « pas un documentaire, pas un film… ». Dreamers, giant teaser, cut-up psychedelic, brings together a sum of influences. Materials, sounds, images and texts mingle in a polyphonic narrative. Automatic writing itself as ritual, tracing the path of a mental journey. Tribute to the Beat Generation, it enrolled in a poetic movement and wandering, so dear to Pasolini, “not a documentary, not a movie …”.